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Les citajours de Syldia
17 mai 2005

S'accrocher à la vie

L'obsession du suicide hante plus de gens qu'on ne croit. Louis Malle

suicide

Cet arbre, ce peut être un ami, un frère...On a tous un arbre, mais quelquefois on a du mal à le voir dans la forêt. Syl
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Commentaires
S
Djyandbi.....Je suis heureuse d'avoir la possibilité de te lire aujourd'hui régulièrement. Le Djyandbi actuel ne doit avoir aucun regret.
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D
Il y'a juste un moment ou on a envie d'éteindre la lumière, d'arrêter la machine. Ou le seul courage qui reste, c'est justement celui-là.<br /> Je suis un jour passé à l'acte. Et le souvenir qui me reste est celui d'un grand moment de paix enfin retrouvée... J'ai mis très longtemps à me remettre de mon échec.
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2
Un appel au secours? Oui, à condition qu'au final, l'irréparable ne soit pas commis... Sinon, cet appel ne sert plus à rien... :(<br /> <br /> c pour cela que ça se nomme un appel au secours mais hélas ça peut aussi sonner occupé à l'autre bout du fil et ça reste un appel au secours. Maintenant il peut ^tre choisi pour culpabiliser un groupe ou une autre personne "Vous aurez ma mort sur la conscience"<br /> <br /> Mais le suicide peut ^tre aussi un choix celui de se dire j'ai assez vécu sans qu'obligatoirement il y ait maladie incurable. Celle ou celui qui ne croit en rien peut se dire : ma vie est remplie, je n'ai plus rien à découvrir Adieu la vie.. c aussi son droit même si je peux penser qu'il perd un temps de vie précieux puique nous ne connaissons pas notre avenir tout au moins dans sa surprise ^^ <br /> <br /> Maintenant ce que j'en dis ...^^
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M
Choisir d'aller là d'où personne ne peut te chasser, là où plus rien ni personne ne peut faire peur...(Sénèque en parle très bien dans ses Consolations). Choisir de vivre librement, puisque la mort n'est que l'aboutissement de la vie. Pourquoi juger ? Parce que le disparu manque, c'est vrai!mais très égoïste aussi. Admirer celui qui va au bout, choisissant le chemin, la liberté extrême alors apparue. Certains admirent les fortunés, les cultivés, les artistes, pourquoi ne pas admirer ceux qui décident de leur propre vie ? Jusqu'au bout ?
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M
la souffrance morale n'est-elle pas une maladie incurable. Partir, se suicider, une lâcheté oui mais un soulagement pour celui qui s'en va dans ce cas. L'image que vous avez choisie est très belle et vraie. Le suicide est aussi une terrible violence faite aux autres, à ceux qui restent. Ne sommes-nous humains que dans l'ombre que nous projetons au sol ? Peut être ? Passer à l'acte, c'est être déjà mort dans sa tête. Y penser, c'est inévitable (encore cette lâcheté, ce raz le bol de souffrir depuis trop longtemps, cette incapacité à voir dans son environnement, dans ses expériences passées la moindre bribe d'espoir de changement, d'amélioration. Etat d'esprit, maladie psy ? Vouloir s'arrêter en chemin quand ni le paysage ni la balade ne nous plaisent plus....c'est humain aussi)
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