Elles ont quitté leurs peaux, leurs vieilles peaux sèches où elles avaient été jeunes et belles jadis. Et les voilà entrées au plus profond d’elles mêmes, dans ce trou noir qu’on porte tous au fond des entrailles ; plongées dans le silence, dévêtues, dépouillées, aspirées. <br />
Une phrase extraite de « La fièvre de JMG Le Cléziot » dont je viens de démarrer la relecture.