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Les citajours de Syldia
18 juin 2005

Qui va piano...

pa

"Bac à fleurs oranges" de Jmi
Une marche l'une après l'autre.
Pas la peine de se précipiter à vouloir les monter deux par deux...
Sinon on arrive en haut de l'escalier tout essouflé!
DIA

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Commentaires
D
>Le chant du pain: Je ne sais pas si l'on peut parlé de chute, on régresse certes, j'espère juste que l'inclinaison ne sera pas trop sévère.<br /> Quant aux soleils, lumières, clartés...je préfère penser qu'il y a aura des "âmes aimées" qui viendront me chercher
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L
La jeunesse est éternité, l'envolée est rapide. Puis viens la prise de conscience de la fragilité, la marche devient hésitante, la progression plus lente, des montées et des descentes et enfin arrive l'acceptation de la fatalité, la chute devient irréversible, agrémentée de soleils. Toutes les lumières accumulées dans ces éternités, brillent alors même dans les ténêbres. Pour le reste....
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D
>Chant du pain: Il faut les monter ces marches pas les descendre, crois-tu que vivre éternellement serait la solution? <br /> <br /> >Modimo: Ce que tu as écris me fait penser à une chanson de Marc Lavoine que j'ai déjà éditer: "Tu me suffiras", où il dit "Il est bon quelques fois de respirer à fond"...
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L
Surtout qu'à la fin la chute est bien longue, les marches ne mènent qu'au tombeau....
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M
Il est bon parfois de s'éssoufler un peu...
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