30 avril 2005
Pour la vie
Mais deux corps accolés ne serait-ce qu'une fois ne se défont jamais tout à fait l'un de l'autre. Ils restent joints par une sorte d'envoûtement sacré, par un tutoiement invincible, par une commune maladie de douceur que ni la révolte ni l'oubli ne peuvent guérir.
Henri Gougaud Si je venais à perdre mon nouveau-né, c'est exactement cela que je ressentirai. DIA |
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